Révolte ou tentatives de l’échec

Révolte ou tentatives de l’échec

Révolte ou tentatives de l'échec

Sam. 8 mars - 20h30 & Dim. 9 mars à 16h
Billetterie en ligne

Par la cie Les Filles du Renard Pâle

Jean-Marie Trotereau : direction et violoncelle

Une dramaturgie circassienne et musicale Johanne Humblet et les Filles du renard pâle réalisent d’impression – nantes performances funambules avec pour seul mot d’ordre le dépassement de soi. Ces circassiennes qui n’ont pas froid aux yeux
s’amusent allégrement à repousser les limites. Avec cette nouvelle création, Révolte ou tentatives de l’échec, elles nous invitent à un combat, à la fois personnel et collectif, pour faire entendre leurs voix et retrouver l’espoir. Elles signent un spectacle sous forme de manifeste, où la révolte passe aussi par l’humour et la dérision, par l’engagement des corps, par la musique jouée en direct, par un chant révolutionnaire qui viendra résonner comme une ritournelle.
Sans oublier de nouveaux agrès comme la Roue Giratoire, le Fil Précipice ou le Double Balancier. Un spectacle sauvage et sensuel, traversé par une furieuse urgence de vivre !

LA PRESSE EN PARLE :

« Funambulisme, roue giratoire, danse aérienne… Par l’équilibre à grande hauteur, le tournoiement, la prise de risque, trois circassiennes transposent et clament leur sentiment de révolte. Un spectacle acrobatique très rock, en noir et blanc, plein de rage et de vie, et de créativité autour des agrès aériens. Une création belle et forte en émotions. » Télérama TTT

sam. 8 mars – 20h30
dim. 9 mars – 16h

au Théâtre

CIRQUE

durée : 1h
dès 7 ans
tarif A

Pour approfondir

À lire
La BD du spectacle
Révolte Ou Tentative De L’échec, Les Filles Du Renard Pâle Léna MARTINELLI Les Trois Coups

À écouter
L’album du spectacle
Révolte ou Tentative de l’échec Johanne HUMBLET, Jean-Baptiste FRETAY, 2023

Distribution
Écriture et mise en scène : Johanne Humblet – Collaboration artistique : Maxime Bourdon – Collaboration chorégraphique : Farid Ayelem Rahmouni – Collaboration à la création musicale : Jean-Baptiste Fretray – Funambule : Johanne Humblet – Danseuse aérienne : Violaine Garros – Acrobate roue giratoire : Marica Marinoni – Musiciennes : Annelies Jonkers, Fanny Aquaron – Régie générale, aérienne et plateau : Nicolas Lourdelle, François Pelaprat – Création sonore : Mathieu Ryo, Marc-Alexandre Marzio – Création lumière : Clément Bonnin, Bastien Courthieu – Costumes : Solenne Capmas – Chaussons de fil Maison Clairvoy : Nicolas Maistriaux – Construction Sud Side : Matthieu Audejean, Antoine Gautron, Alain Arraez – Collaboration
à la conception de la construction : Steve Duprez – Illustration / Graphisme : Virginie Fremaux, Maya Racca.
Production
Production : Les filles du renard pâle // Co-production et accueil en résidence : Bonlieu Scène Nationale d’Annecy, Le Cratère Scène Nationale d’Alès, Le PRATO Pôle National Cirque Lille, Malraux Scène Nationale Chambéry Savoie, Théâtre de Villefranche-sur-Saône Scène Conventionnée // Co-production : Théâtre Saint-Quentin-en-Yvelines Scène Nationale, Théâtre Molière Sète Scène Nationale Archipel de Thau, Le PALC Pôle Nationale Cirque Châlons-en-Champagne, L’ACB Scène Nationale de Bar-le-Duc, Théâtre Jean Lurçat – Scène Nationale d’Aubusson, Le 3T Scène Conventionnée de Châtellerault // Accueil en résidence : La Ferme du Buisson Scène Nationale, La Brèche Pôle National des Arts du Cirque de Basse-Normandie Cherbourg-Octeville // Soutiens et pré-achats : Le Quai CDN Angers Pays de la Loire // Avec le soutien financier de la Région Grand Est triennal 22-24, la pré-figuration au conventionnement 21-22 DRAC Grand Est, l’aide à la création du Département de la Marne Projet soutenu par Quint’Est réseau spectacle vivant Bourgogne Franche-Comté Grand Est.

Au non du père

Au non du père

Au non du père

Mardi 11 mars à 20h30
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Par Madani Compagnie

Anissa n’a pas connu son père et le recherche depuis son plus jeune âge. Ahmed Madani, fasciné par son étonnante quête existentielle, lui propose de partir le retrouver et de l’accompagner dans cette recherche.
En allant vers ce père et ce pays inconnus, c’est d’abord elle-même qu’Anissa va découvrir. De ce voyage initiatique naîtra une narration qui brouille les frontières entre réel et fiction. Metteur en scène et actrice vont demeurer sur scène pendant toute la représentation, chacun incarnant son propre personnage et déroulant le fil de cette drôle de quête et d’enquête.
Dans un atelier de cuisine, les mains dans la farine, Anissa recompose son identité tout en fabriquant et en offrant des pâtisseries comme on partage le goût de l’enfance. Elle invite les spectateurs à franchir le quatrième mur et prendre part à l’élaboration du récit, à réduire l’écart entre les personnes qui jouent et celles qui regardent. Mais elle garde secret le mot et les émotions de la fin. Au non du père invite avec profondeur à se questionner sur ce qui fait lien entre un enfant et ses parents, et comment cela décide d’un parcours singulier. Avec délicatesse et poésie, cette performance-spectacle atteint chacun dans sa propre histoire.

LA PRESSE EN PARLE :

« Cette quête emmène le spectateur vers des territoires émotionnels inattendus, et pour certains troublants. La mécanique Madani est bien là, avec cette aptitude à creuser les intimités sans impudeur et les émotions sans exhibition. Une appréciable prouesse. » Marianne

« Un spectacle qui fabrique un généreux et touchant théâtre du partage. » La Terrasse

 

mar. 11 mars – 20h30

au Sismographe

THÉÂTRE

durée : 1h45
dès 12 ans
tarif B

Pour approfondir

À lire

Retrouvez dans le spectacle un extrait du Cantique des Oiseaux (1177) Farîd-ud-Dîn ‘Attâr

Distribution
Avec : Anissa et Ahmed – Écriture et mise en scène : Ahmed Madani – Environnement sonore : Christophe Sechet – Images vidéo : Bastien Choquet – Construction, régie : Damien Klein – Administratrice : Pauline Dagron – Chargée de diffusion et de développement : Rachel Barrier – Chargée de production : Adrienne Villiers-Moriamé.
Production
Production : Madani Compagnie // Coproductions et aides à la résidence : Fontenay-en-Scènes / Ville de Fontenay-sous-Bois, Le Théâtre Brétigny, Scène conventionnée d’intérêt national art et création, L’Atelier à spectacle – Scène conventionnée de l’Agglo du Pays de Dreux pour l’accompagnement artistique / (Vernouillet – 28) // Coproductions : Le Grand T, Théâtre de Loire-Atlantique, La Scène nationale de l’Essonne, Agora-Desnos // Aides à la résidence : Théâtre Am Stram Gram – Genève (Suisse), La Minoterie – Scène conventionnée Art, enfance, jeunesse – Dijon (21) // Soutiens : Fondation E.C.Art-POMARET, Conseil Départemental de l’Essonne // Madani Compagnie est conventionnée par la Région Île-de-France, par le Ministère de la Culture – DRAC Île-de-France.

Quand je serai grande…

Quand je serai grande…

Quand je serai grande, je serai Patrick Swayze

Mercredi 12 mars à 20h30
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Par Chloé Oliveres

C’est l’histoire d’une femme au bord de la crise de la quarantaine, biberonnée aux bluettes et contes de fées. Une femme des années 2020, pas tout à fait libérée, qui sans le regard d’un homme, n’est même pas sûre d’exister.
Errante et sans dessein, la voilà perdue quelque part entre Simone de Beauvoir et John Travolta, entre Patrick Swayze et Agnès Varda.
Entre Dirty Dancing et L’une chante l’autre pas.
Après avoir co-fondé la compagnie des Filles de Simone, Chloé Oliveres, époustouflante de présence et de bagout, se lance dans son premier seule-en-scène. À la manière d’une Annie Ernaux qui aurait mangé Florence Foresti, Chloé rejoue ses amours réels et imaginaires, avec beaucoup d’autodérision, le sens du tragique, une chanson en yaourt, quelques personnages, et pas mal de danse lascive.
Du bébé à la quadragénaire, cette actrice décapante parcourt les étapes d’une existence promise à un amour de conte de fées avant de réaliser que, avec ou sans homme à son bras, la femme seule est l’avenir de la femme.
Ce premier seule-en-scène, a fait salle comble à Avignon et au théâtre du Rond-point à Paris et a été chaleureusement accueilli par la critique.

LA PRESSE EN PARLE :

« Un humour ravageur (…) une actrice décapante »  TTT – Télérama

« Un régal de spectacle, drôlissime, subtil, revigorant »  Le Monde

« Avec son tempérament à la Florence Foresti et son physique à la Valérie Lemercier, cette comédienne livre un premier solo parfaitement construit, très bien écrit et d’une autodérision réjouissante. »  Le Monde

« Un spectacle ciselé comme un diamant » Le Figaro

mer. 12 mars – 20h30

au Théâtre

THÉÂTRE

durée : 1h10
dès 12 ans
tarif B

Pour approfondir

À voir
Dirty Dancing (1987) Emile ARDOLINO
L’une chante l’autre pas (1977) Agnès VARDA
→ Chaine YouTube de la comédienne cliquez ici

Distribution
Écriture et interprétation : Chloé Oliveres – Mise en scène : Papy – Scénographie : Émilie Roy – Lumières : Arnaud Le Dû – Costumes : Sarah Dupont – Chorégraphe : Laëtitia Pré – Voix off : Richard Darbois.
Production
Production : Little Bros // Avec les soutiens de la Commanderie de Saint-Quentin-en-Yvelines, de l’Espace Culturel André Malraux au Kremlin Bicêtre, du TE’S de Plaisir, de la SACD et du CNM.

Le printemps des poètes 2025

Le printemps des poètes 2025

Le printemps des poètes

Jeudi 13 mars - 20h30
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Les Moments Poétiques d’Aurillac

En partenariat avec Clairs de Monde

Annie Briet

Annie Briet a vécu son enfance et son adolescence en Champagne troyenne. Elle a été professeur de lettres dans le Var puis près de Toulouse. Elle entre alors au comité de rédaction d’Encres Vives où elle a publié cinq recueils. Elle a publié ailleurs d’autres poèmes notamment : Arc-en-ciel d’oiseaux en 2007 aux éditions du Rocher et La chair des jours en 2009 à Soc & Foc.
Elle découvre le Lot dans les années 80 et n’a eu de cesse depuis d’explorer à pied ses lieux les plus secrets, innombrables et d’écrire ses découvertes en prose poétique racontées dans Un Paradis de pierre aux éditions Un Autre Reg’Art. Texte préfacé par Yves Bonnefoy en 2013.
Elle publie aux mêmes éditions en 2017 Écrire le Lot où elle présente l’œuvre de 20 écrivains qui ont écrit sur le département, aussi différents que Pierre Loti, André Breton, Gilles Lades ou Michel Houellebecq. Cet essai vient compléter sa présentation de peintres et de sculpteurs réalisée en 2010 dans Ces artistes qui ont choisi le Lot. 

Au catalogue d’Encres Vives :
Bruire comme l’arbre ; Pierres de patience ; Novembre à Saorge ; Éveil de feuilles et de racines ; Cueillir l’éphémère ; Crépuscule de la joie

Gilles Lades

Né en 1949 à Figeac. Professeur de Lettres. Il est sollicité tout autant par la méditation de son paysage natal, celui du Quercy, que par la découverte d’autres espaces et milieux, comme la montagne, ou les pays de l’Europe. Sa poésie, qui s’attache à célébrer les couleurs du monde, peut aussi s’affronter au plus extrême dépouillement.
Page à page, au fil des mots inclinés vers le soir, nous entrons dans un autre temps, celui de la patience et de la lumière intérieure. Nous sommes d’emblée invités à une longue confrontation avec ce qui nous dépasse. Avec ce qui prolonge l’instant et le pas solitaire dans la montagne ou sur la lande. Gilles Lades est un veilleur aux sens affûtés. Chaque mot est pesé avec soin avant d’être déposé sur la page. Il s’agit de défricher un peu d’espace et de temps, pour saisir l’esprit du lieu et se rendre intensément présent aux choses. Certes, s’il est des ombres irréductibles dans l’esprit du poète comme en toute âme humaine, un irrépressible besoin d’être au monde traverse l’ouvrage, comme une lumière promise depuis toujours, depuis le premier mot. Guetteur solitaire, Gilles Lades libère les forces latentes du poème, jusque dans l’emprise du soir, jusqu’au face à face avec lui-même, jusqu’à l’heure indivise de la résonance avec l’infini. Ce sont les voix de la vie à l’œuvre que révèle cette poésie précise et belle. Sincère, authentique. Essentielle. Comme ce qui passe et demeure à la fois, tant l’obstiné frisson de l’herbe que la marche inquiète dans un instant vierge de mots, aux prises avec l’ouvrage insatiable des heures. Poésie sans mesure, offerte jusqu’à faire don de l’impossible, tout au bout de l’attente. Celle de Gilles Lades, qui est comme une grâce.
Une trouée dans les ténèbres du monde. (Christophe Mahy)

Il est l’auteur d’une quarantaine de titres, dont récemment Quercy de ciel de roche et d’eau (Tertium, 2015) ; Fleurs de la bonne encontre (éd. Tensing, 2016) ; Le poème recommencé (Alcyone, 2018) ; La pièce du bas (Théâtre) (L’Etoile des limites, 2018) ; Ouvrière durée (Le silence qui roule, 2021)

Jean-Louis Clarac

Jean-Louis Clarac habite à Aurillac, au pied du volcan. Il est membre du comité de rédaction d’Encres Vives. Il vit avec Françoise Cuxac, artiste singulière – sculpture d’assemblage, peinture, textile.
En 1968 il fait la rencontre déterminante de René Nelli à Carcassonne. Peu après il découvre la revue-édition L’Ether Vague et se lie d’amitié avec son directeur de publication Patrice Thierry. Puis Serge Pey le publie en 1984 chez Tribu. Dans la même période Armand Gatti l’intègre dans deux de ses créations à L’Archéoptéryx à Toulouse, une adaptation d’une pièce de William Butler Yeats, en lien avec la répression des Irlandais en Grande-Bretagne et une adaptation de « Compère Général Soleil » de Jacques Stephen Alexis. Ensuite il rencontre Michel Cosem et entre au comité de rédaction de sa revue-édition Encres Vives en 1993.
Il obtient le Prix Troubadours 2010 pour Passages au jardin et le Grand Prix de la Ville de Béziers 2011 pour Vers les confins.
Il anime depuis 2006 Les Moments poétiques au Théâtre d’Aurillac, où il a invité plus de 120 poètes, et l’aventure continue… Il participe depuis 1981 à des manifestations et des festivals de poésie dont « Rencontres internationales des poésies contemporaines-Tribu » à Toulouse, « Les Journées de poésie des Ecrivains du Rouergue » à Rodez, « Lectures sous le cèdre » à Massiac, « La Maison des Mémoires-Joë Bousquet » à Carcassonne « Le mitan du chemin » à Camps la Source), « Les Voix Vives de Méditerranée en Méditerranée » à Sète.

Il est l’auteur depuis 1978 de plus de vingt titres dont Passages au jardin (Prix Troubadours 2010, Cahiers de Poésie Verte 2011) ; Vers les confins, encres de Claude Barrère (Prix de la ville de Béziers 2011, éd. Encre et lumière 2012) ; Le vacarme du Monde (éd. de l’Atlantique 2011, rééditions Encres vives 2017) ; Ligne de Crète fond d’Egée (Encres vives 2012) ; Visages, encres de Catherine Dupire (le frau 2014) ; Vibrations en partage-anthologie des Moments poétiques 2006-2013 (La Porte des poètes, 2014) ; Lisière trouble des métamorphoses, œuvres de Françoise Cuxac, (éd. Le Petit Véhicule 2018) ; Aux confins la vie au cœur, linogravures d’Alain Puygrenier (Cahier des Passerelles 2022), La rumeur le fracas (Jacques André éditeur 2022).

 

jeu. 13 mars – 20h30

au Théâtre d’Aurillac

POÉSIE

durée : 1h
Tout public
Entrée gratuite
(Réservation possible)

Rafraichis aussi le sol nu

Rafraichis aussi le sol nu

Rafraichis aussi le sol nu

Jeudi 13 mars à 20h30
Billetterie en ligne

Par La GRANDe GARABAGNe

Concert proposé par la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac organisé
par le Théâtre d’Aurillac et avec le soutien artistique de l’association Musica Formosa

Cinq artistes, chanteurs, musiciens, comédien, se rassemblent autour de l’œuvre trop peu connue en France de Hanns Eisler et en particulier autour de ses « lieder », sur des poèmes de Brecht, Goethe ou encore Hölderlin.
Eisler, compositeur allemand de l’entre-deux-guerres, déclarait que « la catastrophe commence quand on sépare la musique en deux catégories : la musique légère et la musique sérieuse », ou encore musique profane et musique sacrée. Il voyait un enjeu majeur à ne plus hiérarchiser les genres, à les inclure plutôt dans une recomposition d’un monde où la plus petite ritournelle des rues, voisine en intensité, avec celle des grandes compositions dites de musique « savante ».
Eisler souhaitait voir sa musique interprétée au plus près de chacun, livrée au cœur de la vie, dans des intimités fortes qui remettent en question la barrière entre le public et les interprètes. Il souhaitait que la poésie soit chantée dans des lieux où musique et vie se mêlent pour qu’elle suscite échanges et rencontres. Et c’est bien l’intention portée dans ce récital : une partie instrumentale spécialement arrangée pour violoncelle et accordéon, une interprétation des lieder en allemand – dans la langue originale où Eisler pouvait lui-même si bien les dire et les parler/chanter – et enfin la voix d’un comédien pour donner à en entendre des fragments traduits, comme une rhapsodie forte et marquante.
Ainsi, celui qui écoute et regarde peut retrouver la force du poème original de cette œuvre sublime.

 

Juliette de Massy : soprano
Fabrice Foison : ténor
Laure Balteaux : violoncelle
Bogdan Nesterenko : accordéon de concert
Patrick Condé : comédien

jeud. 13 mars – 20h30

Salle des fêtes
St-Paul-des-Landes

MUSIQUE CLASSIQUE

durée : 1h10
tout public
tarif B

Production
Production : ANCT Massif Central – DRAC Occitanie – Département Lozère – Département Cantal – Scènes Croisées de Lozère – Chahut! Musiques en Cévennes – La Fonderie Le Mans // Soutiens : Cinéthéâtre de St Chély – Théâtre de Mende.