Les Journal d'un corps

Mardi 1er avril à 20h30
Billetterie en ligne

Par les détenus de maison d’arrêt
et la cie Le Bruit des Couverts

d’après l’œuvre de Daniel Pennac

En partenariat avec la Médiathèque du Bassin d’Aurillac
Dans le cadre du dispositif « De vives voix »

Journal d’un Corps est un projet au long cours de médiations menée par la cie Le Bruit des couverts durant 4 années.
L’envie était de réunir plusieurs maisons d’arrêt de la région pour réaliser une pièce radiophonique autour d’une oeuvre originale et passionnante : le roman Journal d’un Corps de Daniel Pennac.

L’histoire est celle d’un adolescent qui décide d’écrire un journal autour de son corps à l’issue d’un évènement tragique. Les différentes étapes banales et importantes de la vie nous sont livrées ici avec précision, pertinence et subtilité jusqu’à nous faire
frissonner la peau et nous faire redécouvrir le Corps. Les sensations corporelles nous racontent notre perception du monde, le rapport que l’on entretient à lui, aux autres et à notre propre intimité.
Un projet en 5 volets enregistrés sur 4 années de médiations au Théâtre d’Aurillac.

Entre spectacle vivant et sensoriel, il sera proposé aux spectateurs un voyage sonore de 80 années croisant la danse, la musique et la comédie.

 

Merci aux 43 détenus d’avoir participé au projet et d’avoir prêté leur voix et leur énergie :
Maison d’arrêt d’Aurillac (15), de Corbas (69) et le centre de détention de St Quentin Fallavier (38)

 

 

mar. 1er avril – 20h30

au Théâtre

PIÈCE RADIOPHONIQUE
MUSIQUE & DANSE

durée : 1h15
dès 14 ans
entrée gratuite

Pour approfondir

À lire

Le texte original Les Poupées Persanes (2021) Aïda Asgharzadeh
Lecture en lien : Le Livre des Rois FERDOWSI et plus particulièrement le conte de Bijan et Manijeh

Distribution
Mise en voix et jeu : Julien Geskoff – Mixage et création son : Orane Duclos.
Production

Ce projet a été soutenu par la région Auvergne-Rhône-Alpes, la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, le Théâtre d’Aurillac, les SPIP d’Aurillac, de Corbas et du centre de détention de Saint Quentin Fallavier.