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Musique classique

Orchestre National d’Auvergne

Direction et soliste : Guillaume Chilemme

Concert proposé par la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac
organisé par le Théâtre d’Aurillac et le soutien artistique de Musica Formosa

 

Vendredi 29 mars – 20h30

A Saint-Paul-des-Landes

Durée : 1h30
Tout public
Tarif A : 25€ / 20€ / 14€

En clôture de sa résidence dans la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac, c’est avec un immense plaisir que l’Orchestre national Auvergne-Rhône-Alpes vous proposera un programme reposant sur deux thématiques distinctes : l’écriture contrapuntique et savante d’une part, avec les oeuvres de J.S. Bach et Mozart et la déclinaison orchestrale de l’une des plus belles pages de musique de chambre de Schubert.

Pilier incontournable du répertoire classique, la fugue est sublimée ici dans les écrits de Jean-Sébastien Bach. Ultime œuvre monumentale de Bach, cet ensemble de vingt-deux fugues en ré mineur écrites sans indication d’instruments trouve un relief impressionnant lorsqu’il est interprété par un ensemble à cordes.
Mozart excella également dans cet art du contrepoint et composa, dans le goût viennois de son temps et pour quatuor à cordes cette fois, un Adagio et Fugue dégageant une impressionnante énergie.

Second volet de ce concert, le quintette à deux violoncelles de Schubert est l’une de ses oeuvres de musique de chambre les plus orchestrales. Composée dans la foulée de la Grande Symphonie dans le courant de l’été 1828, l’oeuvre est une quintessence du premier romantisme musical. Amplifiée par l’ensemble des 22 cordes, l’architecture musicale utilisant deux violoncelles affirme ici son ampleur symphonique et confirme la prédilection de Schubert pour la somptuosité sonore de l’instrument, ses capacités lyriques et son agilité dans les registres graves.

 

PROGRAMME

Jean-Sébastien BACH L’Art de la fugue (extraits 30’)

Wolfgang Amadeus MOZART Adagio et Fugue en Ut mineur KV 546 (9’)

Franz SCHUBERT Quintette à cordes pour deux violoncelles en Ut Majeur D. 956 (50’)

 

 

Crédit
©Jean-Baptiste Millot
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