
d’après Henrik Ibsen
Par la compagnie Plexus Polaire
Yngvid Apeli
SPECTACLE EN ANGLAIS SURTITRE EN FRANÇAIS
L’adaptation d’un des plus beaux textes d’Ibsen sur la désillusion qui joue la carte… de l’illusion.
Une Maison de Poupée par Henrik Ibsen se passe dans une petite ville en Norvège en 1879, peu de temps avant Noël. Nous suivons Nora Helmer, une femme au foyer frivole de classe moyenne, qui se confronte aux conséquences d’un emprunt illégal qu’elle a contracté quelques années auparavant pour sauver la vie de son mari Thorvald. Malgré l’effort de Nora pour garder son secret, Thorvald découvre la vérité, et leur relation d’apparence parfaite se brise en mille morceaux. Nora réalise que sa vie n’a été qu’un mirage et décide alors de quitter Thorvald et leurs trois enfants.
Yngvild Aspeli, actrice et marionnettiste de renom international, met son intelligence de l’art de la marionnette au service de la mécanique dramaturgique impitoyable inventée par son compatriote Henrik Ibsen en 1879. La pièce devient alors une troublante rencontre entre illusion et réalité, dans laquelle les marionnettes à taille humaine se font métaphores d’une société de faux-semblants. En convoquant la danse, les voix et les harmonies, elle propose un spectacle qui hante, ravit et libère les vieux spectres.
POSSIBILITE DE VISITE DU DECORS
+++ PLUS D’INFORMATIONS +++
LA PRESSE EN PARLE
« La manipulation se fait à vue, troublant la perception du/de la spectateur·rice, plus si certain·e de démêler le vrai du faux. La créativité d’Yngvild Aspeli, en collaboration avec Paola Rizza, fait de cette Maison de poupée une réussite théâtrale. » – Les Inrocks
« Expressives, les marionnettes grandeur nature sont sidérantes et la ventriloquie est telle qu’on les entend parler…. Outre l’impressionnante beauté de la scénographie l’un des intérêts de cette création est de rendre accessible d’Isben aux plus jeunes, tout en lui étant résolument fidèle . » – Libé Culture
« Aspeli a un talent unique pour créer des images aussi délicates que puissantes, on l’a vu dans son impressionnant «Moby Dick ». Ici, la tension est constante. Des araignées surgissent de nulle part (on sursaute à chaque apparition). Les murs, et pas seulement,se transforment en toiles gigantesques. Et les marionnettes? Grâce aux techniciens cachés dans l’ombre, elles semblent s’animer d’elles-mêmes, avant l’envol de Nora, qui, comme cette pièce d’Ibsen, nous emporte. » – Le canard enchaîné
mar. 24 & mer. 25 janvier à 20h30
au Théâtre
THÉÂTRE – MARIONNETTES
durée : 1h20
à partir de 14 ans
Tarif B