VOUS LES AVEZ AIMES DANS « BOLERO »

Une relecture urbaine et contemporaine de Carmen.
Tout en respectant la trame d’origine, cette nouvelle adaptation chorégraphique de Carmen, à la coloration très urbaine et résolument contemporaine, entre en résonance avec la prise de conscience actuelle de la place de la femme dans notre société, de son émancipation, de sa volonté d’égalité et soulève la question du féminicide.
Les personnages forts de cette histoire intemporelle se confrontent les uns aux autres à travers une chorégraphie dépourvue de narration illustrant des scènes de rue d’une grande vitalité.
Carmen, actrice de sa propre vie, en quête de liberté ne reculera devant rien pour la garder. Don José au tempérament sage, épris d’amour fou, abandonne sa vie bien rangée toute tracée et, mû par sa jalousie meurtrière, ira jusqu’à commettre l’irréparable.
Micaëla sa promise, jeune femme à qui il ne viendrait pas à l’esprit de remettre en question la vie traditionnelle qui lui a été assignée, et Escamillo, torero célèbre et adulé à qui tout réussit et se sentant du côté des puissants, s’ajoutent à la trame dramatique du ballet.

LA PRESSE EN PARLE

« Cette adaptation de Carmen est un bol d’air frais, une claque visuelle et émotionnelle qui ne laisse personne indifférent… À travers une chorégraphie fluide et musclée, les interprètes capturent les dilemmes universels de la liberté, du pouvoir et du désir… Sous les projecteurs de ce spectacle flamboyant, Carmen ne se contente pas de chanter sa liberté, elle la danse, la revendique, la transcende ». – À nous Paris

« Une vision urbaine avec une épaisseur tragique et un message profondément féministe ». – Aix-en-Provence Culture

Une méthode simple, rapide et infaillible pour emporter une élection !
L’Art d’avoir toujours raison se présente comme une contribution théâtrale – et espiègle – qui met en lumière certaines techniques de propagande auxquelles nous sommes quotidiennement confrontés. Drôle et salvateur !
Aujourd’hui, sur la scène intellectuelle, médiatique et artistique, plus personne n’évoque la « propagande », comme si celle-ci avait disparu avec la chute du mur de Berlin. Pourtant les spécialistes de ces questions semblent unanimes pour constater qu’au contraire, la manipulation sous toutes ses formes s’est développée de manière massive dans nos sociétés démocratiques.
Dans ce spectacle plein d’ironie, deux scientifiques issus du G.I.R.A.F.E. – Groupe International de recherche pour Automatiquement fédérer les Électeurs – prétendent avoir trouvé une méthode qui, si elle est suivie à la lettre, permet d’emporter n’importe quel affrontement électoral. Devant un parterre de candidats aux futures élections (ici, le public), ils exposent ces techniques qui donneront à celles et ceux qui les appliquent l’assurance d’avoir toujours raison.
Une facétie qui, l’air de rien, nous met en garde contre ce qui pourrait devenir, sous peu, un danger mortel pour la démocratie.

LA PRESSE EN PARLE

« Un acte théâtral politique brillant, servi par des comédiens tout aussi déjantés que géniaux […] Car derrière cette satire à l’humour délirant, se niche un exercice d’utilité publique face aux enjeux démocratiques d’aujourd’hui et de leur alarmante mise en péril. » – La Strada
« Un théâtre d’utilité publique. » – Le Dauphiné Libéré
 « Un acte théâtral (et politique) brillant servi par des comédiens tout aussi déjantés que géniaux. » – La Strada
« Toute la finesse du texte et de l’interprétation des acteurs jouent sur l’examen d’un langage détourné au profit d’une idéologie. » – La Souriscène  
 « Dialogues désopilants, satire sociale et politique …. Une pépite du off d’Avignon. » – La Croix

VOUS LES AVEZ AIMES DANS « PHASME »

Éther, un nom évoquant dans la mythologie grecque, la personnification de la partie la plus pure du ciel, ou en science physique, les substances subtiles qui permettent la transmission des effets entre les corps… C’est toujours avec autant de poésie, que fanny Soriano nous plonge dans son univers circassien, influencé par la danse contact. Ce duo aérien, premier volet d’un futur triptyque, explore les mécanismes relationnels entre les individus et signe le retour de son agrès de cœur : la corde.
Métaphore de la relation, la corde fait lien entre deux entités et leur univers : tantôt agrès pour les interprètes, tantôt accastillage servant aux manipulations de décors… La scène se déroule entre terre et cieux, au cœur d’un paysage lunaire. Évoluant à travers une palette d’émotions, traduite par une scénographie astucieuse en perpétuel mouvement, deux individus se font face sans aucune échappatoire possible. Tour à tour alliées, ennemies, sœurs ou étrangères, entre s’affronter, se soutenir, rester à distance, fusionner, quels sont les choix qui s’offrent à nous quand on partage un même territoire ?
Des questions éminemment d’actualité, destinées à éveiller en nous de nouvelles vibrations.

LA PRESSE EN PARLE

« Le travail d’écriture de Fanny Soriano est fin, au plus près de la danse et des éléments, au plus près des images et des sensations. Quelque chose de subtilement organique. » –  Le Figaro
« Le spectacle de la compagnie Libertivore révèle autant qu’il noie diverses et intenses émotions. (…) Les prestations pleines de grâce de Pauline Barboux et Jeanne Ragu transportent et hypnotisent. Nous voyageons sans trop savoir pourquoi ni comment. En résulte une expérience particulièrement fascinante marquée par des dernières minutes haletantes qui se concluent en apothéose. » – Toute la culture