Danakil

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Reggae

Danakil

« Rien ne se tait »

Vendredi 17 novembre – 21h

Au


Durée : 1h30
Tout public
Tarif A : 25€ / 20€ / 14€

PASS SISMO

Plébiscité par le public, Danakil est un des groupes de reggae français les plus populaires et dynamiques de la métropole. Authenticité, fidélité, les Danakil ont quelques qualificatifs qui donnent à leur musique ce supplément d’âme militant et concerné, cette ambiance si particulière qui a largement contribué à leur succès.
Avec leur onzième album Rien ne se tait, le groupe nous offre une belle occasion de siroter un peu d’espoir, de lumière et de groove sur une scène musicale durement ébranlée par la crise.
Cet album se compose de treize chansons aux accents chauds et envoûtants, tour à tour inspirées, légères ou engagées, elles tissent un ensemble riche et harmonieux pétri de ce qui a forgé la renommée du groupe : un socle basse-batterie puissant, une section cuivre toujours aussi brûlante et un magistral ensemble claviers-guitare-percussions. À l’écoute de cet album, reste ce qui ne s’explique pas : cette irrépressible envie de danser qui saisit dès
les premières mesures. Côté textes, métissage et réflexion politique jouxtent des thèmes plus sensibles et quotidiens comme le pouvoir du rêve ou la famille. La singularité de Danakil, c’est de chercher à la fois à émouvoir et dénoncer dans une double ambition de réveiller la conscience citoyenne et de ré-enchanter le monde par la musique.

 

Distributions & Mentions
Balik : chant
Natty Jean : chant
Fabien « Fab » Giroud : Guitare
Boris « Massif B » Arnoux : Basse
Sébastien « Bozo » Farges : Saxophone
Mathieu « Dass » Dassieu : Saxophone
Jacques « Keuj » Stainton : Trombone
Thomas « Tomtom » Souil : trompette
Thierry « Titi » Renault : Batterie
Julien « Manjul » Souletie : percussions, choeurs
Martin « Smart » Bisson : claviers
Valentin « Tino » Andry : claviers

Crédit : Alex Sorin // En accord avec Baco Music

Tryptique – « Les pianos romantiques »

Tryptique – « Les pianos romantiques »

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Musique classique

Tryptique – « Les pianos romantiques »

En partenariat avec Musica Formosa
dans le cadre du festival Voyage d’Hiver

Samedi 18 novembre

Au Théâtre

 

Chaque concert : Tarif B : 15€ / 10€ / 5€
3 concerts = 1 abonnement

 

Au début du 19ème siècle, le répertoire pour piano explose ! En pleine période romantique, Beethoven, Mendelssohn, Chopin, Schumann, Brahms, Rachmaninov ou encore Gabriel Fauré explorent avec une imagination florissante les mille couleurs de l’instrument, devenu au fil des ans un fantastique instrument capable à lui tout seul de créer l’illusion d’un véritable orchestre symphonique ! Un triptyque somptueux nous révélant toutes les palettes des émotions humaines dans des architectures magistrales, et servi par des interprètes phares de leur génération.

 

> 17h30 -Théo FOUCHENNERET / Durée : 1h
BEETHOVEN, Sonate « Waldstein » n°21 en do majeur, opus 53
MENDELSSOHN, Romance sans parole opus 30 n°6
SCHUMANN, Fantaisie opus 17

À tout juste trente ans, Théo Fouchenneret s’impose déjà comme l’un des pianistes les plus accomplis de la scène internationale. Premier prix du très prestigieux Concours International de Genève, il a choisi de nous faire entendre quelques joyaux de la littérature, emblématiques du romantisme par leur lyrisme, leur flamboyance et leur époustouflante virtuosité !

 

> 19h15 – Salih CAN GEVREK / Durée : 1h
RACHMANINOV, Sonate n°2 en si bémol mineur, opus 36
SCRIABINE, Sonate pour piano n°7 op. 64 « Messe blanche »
SCRIABINE, Fantaisie en si mineur opus 28

Salih Can Gevrek était artiste en résidence jusqu’il y a peu à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth sous la direction de Louis Lortie, où il a été admis après avoir étudié avec Dimitri Alexeev au Royal College of Music de Londres. Dès son enfance, il est lauréat de nombreux concours internationaux. Il poursuit sa carrière en donnant des récitals dans de nombreuses salles prestigieuses. Récemment, il a obtenu le Premier Prix d’Eurasian Stars International Piano Competition à Astana, le Prix du Public à Schiermonnikoog Festival et le prix Oranjewoud Festival au Pays Bas.
Un programme émouvant, révélant les tourments transcendés et les profondeurs de l’âme romantique russe et par là-même de tous les sentiments humains. La musique ici célèbre l’union du chant, du geste, de l’architecture et de la poésie, chaque note dévoilant des paysages sonores uniques.

 

> 21h – Éric LE SAGE / Durée : 1h
SCHUMANN, Carnaval opus 9
FAURÉ, Variations opus 73
BRAHMS, Variations sur thème de Schumann pour 4 mains

On ne présente plus Eric Le Sage dont l’immense discographie a été acclamée par la presse et fait aujourd’hui référence. Sa profonde compréhension de l’époque romantique l’a conduit sur les plus belles scènes du monde et lui permet de capturer la quintessence de ce langage musical fascinant, de révéler des subtilités et des nuances inexplorées jusqu’alors pour donner une nouvelle vie aux oeuvres, à leurs textures et à la magie de leurs enchaînements harmoniques avec une grande exigence technique et une profonde expressivité.

 

Crédits
 ©Kaupo-Kikkas ou Lyodoh Kaneko (théo) – Jean-BaptisteMillot (le sage)
Scènes étranges dans la mine d’or

Scènes étranges dans la mine d’or

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Jonglage – Danse – Récit

Scènes étranges dans la mine d’or

Par Studio Phantôm – Elsa Guerin

Mardi 21 novembre – 20h30

Au Théâtre

Durée : 1h
A partir de 11 ans
Tarif B : 15€ / 10€ / 5€

     

 

La pièce prend pour point de départ la plus ancienne représentation que l’on connaisse du jonglage, une fresque d’il y a environ 4000 ans, dans un tombeau en Egypte.
Entre documentaire et récit intime, une voix nous raconte un trouble avec cette image, début d’un processus d’associations d’idées, de formes, de représentations, de superpositions d’époques et cultures, des jongleuses de l’Antiquité jusqu’à celles d’aujourd’hui, en passant par Les Trois Grâces de Raphaël (et quelques autres figures plus ou moins célèbres). Dans une partition hybride de jonglage et de danse, trois femmes les font apparaître sur scène, en chair et en os.
Archéologie du geste jonglé et de ses analogies avec le geste dansé, archéologie du corps, en particulier féminin, dans l’histoire des représentations, il est aussi question d’une archéologie plus intime, du souvenir personnel, et des survivances du passé dans ce qui nous constitue.
Révélant les corps dans leur rapport à l’espace et au temps, Elsa Guérin propose une écriture du jonglage minimaliste et sensible, invente une nouvelle généalogie entre peinture, sculpture, danse et jonglage, et nous parle des femmes dans l’art, dans l’Histoire, au cours des siècles, de l’impertinence du corps et de ses représentations. Cette pièce est aussi une célébration de la joyeuse confusion entre réel et imaginaire, et une célébration de l’art comme consolation face au tragique de la vie.

 

LA PRESSE EN PARLE
« Les mouvements sont empreints de solennité, les poses étudiées, le jonglage précis : il s’agit de retrouver quelque chose d’un ordre transcendant, de partager une fascination […] on se laisse guider par la voix et les images, on peut recueillir un peu de l’émotion “animiste” de l’artiste, et l’accompagner dans son voyage mystique à travers l’histoire ». La Terrasse
Distributions & Mentions
Chorégraphie, mise en scène, texte et voix off : Elsa Guérin – Interprétation : Gaëlle Cathelineau, Elsa Guérin, Mathilde Robin – Collaboration à la dramaturgie : Delphine Lanson – Arrangements sonores : Matthieu Rivière et Elsa Guérin – Lumière : Grégoire Plancher – Régie de tournée : Matthieu Rivière – Scénographie et costumes : Elsa Guérin – Production : Satya Gréau – Photos Maitetxu Etchevarria, Raphaël Hinojosa.

Production Studio Phantôm // Coproduction : Théâtre d’Aurillac scène conventionnée, Le Sirque Pôle national cirque de Nexon Nouvelle-Aquitaine, La Verrerie Pôle national cirque d’Alès Occitanie, La Cascade Pôle national cirque de Bourg St Andéol Auvergne Rhône-Alpes, L’Agora Pôle national cirque de Boulazac Nouvelle-Aquitaine, La Maison des Jonglages scène conventionnée à La Courneuve, Théâtre Les Bords de Scènes Grand-Orly Seine Bièvre à Juvisy, l’Avant-Scène scène conventionnée à Cognac + OARA MÉCA à Bordeaux // Résidences Le Sirque PNC de Nexon Nouvelle-Aquitaine, La Verrerie PNC d’Alès Occitanie, La Cascade PNC de Bourg St Andéol Auvergne Rhône-Alpes, L’Agora Pôle national cirque de Boulazac Nouvelle-Aquitaine L’A4 à St Jean d’Angély (résidence rémunérée OARA), l’Avant-Scène scène conventionnée à Cognac, Théâtre ONYX scène conventionnée à St Herblain, OARA MÉCA à Bordeaux + La Maison des Jonglages scène conventionnée à La Courneuve (labo audition 2019) //Soutien : Ministère de la Culture et de la Communication DRAC Nouvelle-Aquitaine (aide au projet) // Remerciements : Jules Bertrand, Boris Sommet, Eric Royer, Jani Nuutinen, Andrea Sperenza, Stefan Kingsman.

MOMENT POETIQUE/ J-G. Cosculluela

MOMENT POETIQUE/ J-G. Cosculluela

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POESIE

MOMENT POETIQUE/ J-G. Cosculluela

En partenariat avec l’association Clairs de Monde

Jeudi 23 novembre – 18h30

Au Théâtre

Durée : 1h
Tout public
Entrée gratuite

 

 

 

Ce rendez-vous poétique est programmé en préambule du spectacle :
« Aïe ! Un poète ! » de la compagnie Des Sens à 20h30 (plus d’infos sur le spectacle : ici)

La rencontre se composera de la lecture de poèmes et d’un temps musical assuré par le poète lui-même.

Originaire du Haut-Aragon (Pyrénées espagnoles). Vit en Ardèche. Conservateur en chef des bibliothèques. Écrivain, traducteur. Co-dirige la collection Espaces de peu (Atelier des Grames). Fait partie du comité de rédaction de la revue « faire part ». Une trentaine de livres dont récemment : Tset, tsvet (éd. Centrifuges, 2016) avec des peintures de Claude Viallat, Nuidité du papier (éd. de Rivières, 2018) avec un texte de Michel Butor et des peintures d’Anne Slacik, Tarrampeu inFrau(x) (éd. du Frau, 2018) avec des photographies d’Odile Fix, S’amuïr (Passe du Vent, 2019) gravures Gisèle Celan-Lestrange, La Peinture continue (Fabelio / Archipel Butor , 2020) peintures Anne Slacik, Retournons voir l’invisible suivi de A l’oeil nu, accueillons les formes d’avant le jour (Voix, 2021) peintures Serge Fauchier, Le Livre se livre nu (Voix, 2021) encres Richard Meier …

Nombreuses publications en revues récemment « L’Etrangère » n° 55, fin 2021) et sur des sites Internet. Travail de livres d’artistes avec des artistes contemporains.

 

Aïe ! Un poète !

Aïe ! Un poète !

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Poésie – Danse – Théâtre

Aïe ! Un poète !

D’après l’oeuvre de Jean-Pierre Siméon et les poètes d’hier et d’aujourd’hui
¨Par la compagnie des Sens – Anne Rebeschini

Jeudi 23 novembre – 20h30

Au Théâtre

Durée : 1h
A partir de 11 ans
Tarif B : 15€ / 10€ / 5€

 

Une performance qui s’adresse en premier lieu aux réfractaires : toutes celles et ceux que la poésie rebute, histoire de les convaincre qu’il existe dans le monde si vaste de la poésie un texte qui les attend. Ce seul en scène engage chacun à aller à la découverte ou re-découverte des poètes, de la poésie sous ses nombreux aspects, voire du poète ignoré qui se cache en lui/elle.
Avec finesse et humour, le texte de Jean-Pierre Siméon, qui inspire ce spectacle, donne les outils pour appréhender les poèmes avec curiosité et gourmandise.
Un véritable voyage en poésie où s’entremêlent la danse, le théâtre et les voix de poètes immortels de toutes époques. Surprise, étonnement, joie, humour, émotion, Aïe ! un poète ! démystifie la poésie et délivre des secrets que seuls les poètes murmurent.
Cette performance est conçue et interprétée par Anne Rebeschini. Elle a été soliste au Tanztheater Wuppertal Pina Bausch et artiste chorégraphique à l’Opéra National de Paris. Anne, artiste pluridisciplinaire, est directrice artistique de la Compagnie des sens.

 

LA PRESSE EN PARLE
« A la sortie, le public sous une chaleur écrasante, laisse entrevoir un visage apaisé, heureux mais conscient de l’alerte ! Un monde sans poésie est un monde absent de liberté et de création, artistique bien sûr mais aussi scientifique ! ». Elisabeth Naud Théâtre du Blog 2019
Distributions & Mentions
Interprétation : Anne Rebeschini – Collaboration artistique : Grégory Bourut – Lumières : Amandine Gerome – Costume : Olivier Mulin – Création musicale : Iván Solano, et la voix de la poétesse : Maram al Masri. Crédit Photo Affiche : Jean-Pierre Montagné.

Production : Compagnie des sens // Bureau de production : Production Tout’art // Soutiens : Spedidam, Conseil Départemental de la Haute Garonne // Accueils en Résidence : La Vannerie Friche culturelle Mairie de Toulouse – La Baraque, Théâtre du Hangar, Cave Po’ René Gouzenne // Soutien en Mécénat : Fab&Fab, Giesper, GBMP, Lign’Habitat, Crédit Municipal, Axylis, Prêt à Broder, Néodis, Alibert SAS, Socotrap, Aéroport de Toulouse, Picto Toulouse, GTPL, Etude Farge, GTLP, Villa Tropézienne, L’agence Médiane Event § Travel // Le texte Aïe ! un poète est publié chez Cheyne Editeur.