de Marguerite Duras

En partenariat avec la Médiathèque du Bassin d’Aurillac
Dans le cadre du dispositif « De vives voix »

L’affaire de la dépeceuse de Savigny fascina Marguerite Duras.
L’autrice s’en inspira pour écrire le roman L’Amante anglaise, puis une pièce du même nom. Avec Sandrine Bonnaire, Jacques Osinski adapte ce texte dans un huis clos puissant. Véritable thriller psychologique à la Agatha Christie.
C’est l’histoire d’une femme incapable d’expliquer son geste meurtrier. un jour, Claire tua sa cousine sourde et muette. Elle découpa son corps avant de s’en débarrasser sous un pont.
Pourquoi a-t-elle commis un tel crime ? Sur scène, trois personnages nous aident à mener l’enquête : Claire, son époux Pierre et l’interrogateur. Pour comprendre l’impensable, ce dernier questionne sans juger tandis que la meurtrière reste évasive et que son compagnon la fait passer pour folle. Au plus près des spectateurs, Sandrine Bonnaire, Frédéric Leidgens et Grégoire Oestermann entretiennent une tension au fil de leurs déclarations et de leurs silences. Et avec eux, nous sondons l’âme humaine dans ce qu’elle a de plus sombre et de plus effrayant.

LA PRESSE EN PARLE

« On ne s’ennuie pas une seconde à la vue et à l’écoute du trio de comédiens (Sandrine Bonnaire, Frédéric Leidgens, Grégoire Oestermann), mais on entre dans un curieux état de sidération avec l’impression tenace d’être aussi piégés que le sont les acteurs entre des vérités qui louvoient et ne se fixent jamais. » – Le Monde
« Dans un dispositif réduit à l’essentiel, Jacques Osinski monte la pièce de 1968 comme une cérémonie sacrée. » – Télérama, TT
« Dans une mise en scène épurée de Jacques Osinski, Sandrine Bonnaire incarne magistralement la folie criminelle de l’héroïne de Duras. » – Les Echos

CONFÉRENCE SAMEDI 25 JANVIER à 18h
« La place du crime dans l’écriture de Marguerite Duras »
par Joëlle Pagès-Pindon, Professeure agrégée de Chaire Supérieure Honoraire,
Chercheuse associée Thalim-Sorbonne Nouvelle,
Administratrice de l’association internationale Marguerite Duras

En partenariat avec le Conseil Départemental du Cantal   
Dans le cadre du festival « Jours de danse(s) » 

Comme un Écho

Par la compagnie Quertzal Art

Un homme, une femme, deux âmes face à leur solitude, chacune d’un côté de la rive d’un lac. Le regard perdu dans les profondeurs, ils rêvent d’un être traversant les mêmes tourments. un impact, un écho. une onde de choc telle une trace que l’autre remarque au loin. Mais que se passerait-il si l’un était l’écho de l’autre, s’échappant chacun de leurs ombres entremêlées pour laisser apparaître deux entités qui affirment leur singularité ?
Le temps d’un rêve illusoire, les deux personnages vont se créer un monde fictif où ils se retrouvent face à une personne idéale pour partager un instant de compréhension mutuelle et de réconfort. un impact, un écho, un rêve créé pour mieux affronter leur réalité. Dans le souffle de notre monde contemporain, Comme un Écho est un spectacle au langage chorégraphique hybride mélangeant Néo-Classique, Breakdance et Contemporain, dans une création musicale originale fusionnant disciplines anciennes et actuelles.

Direction artistique : Elodie Allary – Chorégraphie : Elodie Allary et Franck Caporale – Interprétation : Elodie Allary et Franck Caporale – Composition musicale originale : Théo Palfray et Jules EVRARD – Musiques : Théo Palfray – Deux Rives, Théo Palfray – Ondes, Théo Palfray – Ricochet, Jules Evrard alias Distoche – Diffracted Beams, Théo Palfray – Résonance.

Partenaires et soutiens : Le Performance – Compagnie Rêvolution, Centre ChoréA Marmande, Nect’art Studio, Studio Polymorphose // Crédit photo : Polymorphose (photo extérieur) / Jérémy Legeay (photo intérieur).

Hêtre

Par la compagnie Libertivore

Une jeune femme s’éloigne peu à peu du monde du réel et entre dans une forêt de mystères et de songes. Son corps liane s’approche, s’insinue, se glisse jusqu’à se fondre dans le bois. Dans cet instant de solitude, elle ne s’enferme pas. Elle prend du recul, de la hauteur aussi. Elle rassemble ses forces et ouvre grand les fenêtres, celles qui donnent sur l’ailleurs et sur l’intime.
Ce spectacle, entre danse et cirque, doit sa force à sa simplicité et à l’authenticité du geste. Un corps à corps harmonieux et hypnotique entre un agrès hors du commun et une jeune femme en pleine métamorphose.
Celle d’une jeune femme qui renoue avec le sauvage.

Chorégraphie : fanny Soriano – Interprétation : Noémie Deumié – Musique : Thomas Barrière – Costumes : Sandrine Rozier.

Production : Compagnie Libertivore // Coproduction : Archaos Pôle National des Arts du Cirque Méditerranée, Marseille // Accueils en résidence Archaos Pôle National des Arts du Cirque Méditerranée, Marseille/ GARDENS, La Cité des Arts de la Rue, Marseille/ L’espace Périphérique – Parc de la Villette, Paris/ L’académie Fratellini, La Plaine Saint-Denis // Remerciements : Karwan / Cité des Arts de la Rue, Marseille // Soutiens Bourse d’aide à la création artistique locale de la ville d’Aubagne et Aide à la diffusion de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur // Fanny Soriano est artiste associée aux 2 Scènes – Scène nationale de Besançon // ©Moïse Fournier.

LA PRESSE EN PARLE

« Hêtre : un dialogue avec une branche. Ce qui compte ici, c’est la grâce, la beauté, la virtuosité du geste juste porté par une musique envoûtante. Un spectacle qui ne peut laisser de bois apportant sa touche de poésie et la fulgurance de sa beauté. » – Le Dauphiné Libéré

CRÉATION 2026

AJAR CCI est un quatuor chorégraphique né d’une rencontre essentielle : celle entre quatre interprètes et la musique puissante de Julius Eastman, Gay Guerrilla. Point de départ et fil conducteur, cette œuvre musicale devient l’élément déclencheur d’un mouvement collectif, d’un espace à habiter ensemble. Chaque danseuse s’y engage pleinement, traduisant par le geste l’émotion, l’élan, la révolte ou la douceur que la musique éveille en elle. La scène devient cercle, lieu d’écoute et de liberté, où les corps se répondent et se soutiennent dans un va-et-vient entre expression individuelle et résonance commune.
Au fil de la pièce, Gay Guerrilla devient souffle partagé, creuset d’une transformation : celle d’un groupe qui se rassemble pour faire corps avec la musique et inviter le public à cette expérience sensible et vivante. une célébration de la présence, du lien, et de la liberté d’être, au cœur du geste dansé.