Par la compagnie L’entreprise
François Cervantes

VOUS LES AVEZ AIMES DANS « LE ROUGE ÉTERNEL DES COQUELICOTS »

Robert et sa femme ont vécu toute leur vie dans le même quartier. Le dîner, c’est le seul moment où ils se parlent. Ils aiment parler quand ils mangent. Au moment du dîner, leur maison est toujours ouverte : tout le quartier passe à la maison, ça entre, ça sort, ça discute. un jour, un directeur de théâtre, qui est un cousin éloigné, est allé dîner chez eux. Il a passé un moment tellement invraisemblable avec eux qu’il leur a proposé de venir passer une soirée au théâtre pour rencontrer le public.
Robert et sa femme ne sont jamais allés au théâtre de leur vie.
Et ils entrent sur scène. La table est mise pour ce dîner auquel ils sont invités. Ils découvrent la salle, saluent les spectateurs et se mettent à table. Peu à peu, aidés par la surprise, l’émerveillement et l’excellent vin qu’on leur a servi, ils sont gagnés par l’étrange émotion d’être sur scène devant un public.
Leur hospitalité naturelle fait venir au plateau des fantômes de théâtre et la soirée devient une rencontre du visible avec l’invisible.

LA PRESSE EN PARLE

« Conte théâtral enchanteur, la nouvelle création de l’auteur et metteur en scène François Cervantes fait jaillir un trésor d’humanité. » – Le Monde

« Ce repas des gens est un moment de bonheur poétique et de rire sincère. Dans cet univers décalé qui use aussi un peu de magie, le théâtre a été convié au banquet. Quel beau menu ! » – L’humanité

« Ce couple semble arriver d’une autre planète et [Julien Cottereau et Catherine Germain] réussissent à incarner ce que représente pour les néophytes une première visite au théâtre. Maladresse des mots comme des corps, découverte des techniques qui créent l’illusion, pouvoir de l’imagination, le spectacle tisse toutes ces dimensions à la fois, tout en préservant la légèreté de la situation : deux êtres qui s’aiment depuis longtemps d’une manière singulière et partagent un (vrai !) repas devant nous avec entrée, plat, dessert et pas mal de vin. Et surtout beaucoup de facéties. » – Télérama

Par la compagnie La Vouivre

VOUS LES AVEZ AIMES DANS « LA BELLE », « FEU » ET « LUX »

Partir du néant qui nous guette jusqu’à l’élan qui nous tente.
Printemps est le fruit de la collaboration entre Les Percussions Claviers de Lyon et la Compagnie La Vouivre, un concert chorégraphique, une suite de tableaux inspirés d’images symboliques sur le thème de la mort et de la renaissance, un voyage entre danse et percussion, à la fois funèbre et féerique.
Dans une mise en scène aux airs d’incantation collective, quatre danseurs et cinq percussionnistes nous donnent à voir et à entendre un monde qui revient à la vie.
Ensemble, ils célèbrent le renouveau.
Le temps d’une respiration collective, aux couleurs d’une fête macabre salvatrice, se dessine le paysage étrange d’une communauté qui choisit l’espoir comme ultime consolation. Ici, un squelette virevolte dans les airs ; là, des médecins de la peste cachés derrière d’inquiétants masques à bec manipulent le corps d’une danseuse du bout de leur longue baguette.
La pièce propose différentes partitions poétiques, un espace de communion entre danse et musique qui, avec intensité et humour, révèle la vulnérabilité de la condition humaine.

LA PRESSE EN PARLE

« Printemps, c’est onirique, poétique, esthétique et narratif mais sans avoir un fil trop épais au niveau du sens. » – La Montagne

« Les spectateurs ont été vite conquis par cette création commune, riche en inventivité scénique, par sa distanciation à la fois humoristique et poétique. Oui Printemps est une belle idée ! » – Le Dauphiné Libéré